Jean Paul Sartre :
dit Poulou ou «SO « satyre officiel » ou JPS
dit Poulou ou «SO « satyre officiel » ou JPS
Caractère et vie : Enfant timide et observateur, il se pose très tôt des questions existentielles, qui révèlent chez lui une grande sensibilité. D'après son autobiographie, les Maux, on sait qu’il il provient d’une famille bourgeoise : son oncle est polytechnicien, et son père un militaire, sa mère descend d’une famille d’intellectuels et de professeurs alsaciens. Le petit Sartre ne connaîtra pas son père, qui meurt de la fièvre jaune quinze mois après sa naissance, il endossera ainsi des responsabilités qui le poussent à la maturité à un âge très précoce. Cette absence du père provoquera un sentiment d’insécurité, dont on sait qu’il peut perturber le stade oral (Freud) : c’est sans doute la raison pour laquelle Sartre fume jusqu'à 42 paquets de Gitanes par jour, ainsi le réchauffement de la planète commença en octobre 1906 (date à partir duquel il commença à fumer).L’image du père est pourtant là : c’est son grand-père, Charles Schweitzer, homme à la personnalité imposante, qui l’éduque avant qu’il n'entre à l’école publique à dix ans. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va donc vivre avec sa mère chez les parents de celle-ci. Il y passe dix années heureuses. Le petit Poulou va être adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui va sans doute construire chez lui un certain narcissisme.
Toujours d'après son autobiographie, « les Maux », il gagna la Première Guerre Mondiale à lui tout seul, à 13 ans, ce qui lui assure une confiance en soi disproportionnée.
Jean Paul est persévérant, acharné, et tenace. L’image du père est pourtant là : c’est son grand-père, Charles Schweitzer, homme à la personnalité imposante, qui l’éduque avant qu’il n'entre à l’école publique à dix ans. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va donc vivre avec sa mère chez les parents de celle-ci. Il y passe dix années heureuses. Le petit Poulou va être adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui va sans doute construire chez lui un certain narcissisme. Cette période se termine en 1917: sa mère se remarie avec un ingénieur de la marine, que Sartre, alors âgé de 12 ans, ne finira jamais de haïr. Ils déménagent alors à La Rochelle, où il restera jusqu'à l'âge de 15 ans, trois années qui seront pour lui des années de calvaire : Sartre passe en effet du climat familial heureux à la réalité des lycéens qui lui paraissent violents et cruels (naissance du concept dit du "bizutage")
Toujours d'après son autobiographie, « les Maux », il gagna la Première Guerre Mondiale à lui tout seul, à 13 ans, ce qui lui assure une confiance en soi disproportionnée.
Jean Paul est persévérant, acharné, et tenace. L’image du père est pourtant là : c’est son grand-père, Charles Schweitzer, homme à la personnalité imposante, qui l’éduque avant qu’il n'entre à l’école publique à dix ans. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va donc vivre avec sa mère chez les parents de celle-ci. Il y passe dix années heureuses. Le petit Poulou va être adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui va sans doute construire chez lui un certain narcissisme. Cette période se termine en 1917: sa mère se remarie avec un ingénieur de la marine, que Sartre, alors âgé de 12 ans, ne finira jamais de haïr. Ils déménagent alors à La Rochelle, où il restera jusqu'à l'âge de 15 ans, trois années qui seront pour lui des années de calvaire : Sartre passe en effet du climat familial heureux à la réalité des lycéens qui lui paraissent violents et cruels (naissance du concept dit du "bizutage")
Élève à l'École Anormale Inférieure, Poulou échoua brillamment l'agrégation de philosophie, et tout le monde s'est bien moqué de lui. Ce qui lui a forgé un mental d'acier.
Sartre reste en effet le redoutable instigateur de toutes les plaisanteries, de tous les chahuts, allant jusqu’à provoquer un scandale en jouant avec ses amis un sketch antimilitariste dans la revue de l’ENI de 1927
Sartre a ainsi déjà un goût pour la provocation et le combat contre l’autorité.
Il acquiert aussi une grande notoriété parmi ses professeurs et se fait ovationner dans chacune de ses arrivées au réfectoire. Si Sartre est volontiers un boute-en-train, c’est aussi un grand travailleur, dévorant plus de 300 livres par an, écrivant chansons, poèmes, nouvelles, romans à tour de bras. Sartre se fait des amis qui deviendront par la suite célèbres, comme Raymond Aron ou Maurice Merleau-Ponty.
Il est doté d'un charisme incroyable qui impose le respect , malgré un strabisme qui aurait donné du fil à retordre à Descartes lors de ses recherches sur les lois d’optique (principe de propagation rectiligne de la lumière ).
Sartre a ainsi déjà un goût pour la provocation et le combat contre l’autorité.
Il acquiert aussi une grande notoriété parmi ses professeurs et se fait ovationner dans chacune de ses arrivées au réfectoire. Si Sartre est volontiers un boute-en-train, c’est aussi un grand travailleur, dévorant plus de 300 livres par an, écrivant chansons, poèmes, nouvelles, romans à tour de bras. Sartre se fait des amis qui deviendront par la suite célèbres, comme Raymond Aron ou Maurice Merleau-Ponty.
Il est doté d'un charisme incroyable qui impose le respect , malgré un strabisme qui aurait donné du fil à retordre à Descartes lors de ses recherches sur les lois d’optique (principe de propagation rectiligne de la lumière ).
C'est là qu'il rencontra celle qui allait devenir son égale, sa muse et son cendrier, mais pas sa bonne à tout faire: Simone de Beauvoir, qu'il surnommait "Mon Castor », (par référence à l'anglais beaver qui signifie « castor » : d'une part, cet animal symbolise le travail et l’énergie, ou esprit constructeur ; de l'autre la sonorité du mot beaver est proche de celle du nom « Beauvoir ») car cette dernière, aimait construire des barrages sur les rivières pendant ses heures de loisirs. Sans doute ce surnom révélait déjà le fait que comme l’animal, Simone était inscrite officiellement sur la liste des femmes susceptibles d'êtres classées nuisibles pour la domination masculine (« Le deuxième sexe »). Elle sera son « amour nécessaire » en opposition aux « amours contingentes » qu’ils seront amenés à connaître tous deux. (On sent déjà que Kant ne va pas être d’accord avec cette pratique immorale)

C’est aussi pendant cette période qu’il fut connu pour écraser régulièrement Albert Camus au baby-foot, au flipper et à la marelle au café de Flore. Camus, bon sportif, faisait souvent remarquer que lui au moins ne louchait pas.
Il fut un membre de la Résistance, n'hésitant pas à publier un traité Heideggérien incompréhensible en 1943 qui mit fin brutalement à l'invasion allemande, en effet le mot « néant » dans l’ »être et le néant » fit peur aux allemands. L'être et le néant, est le premier didacticiel multimédia interactif dédié à la manipulation de la viscosité.
Lettre et le Séant fut un immense succès en France car il était juste de la bonne taille pour caler les armoires et autres tables bancales qui avaient soufferts pendant la guerre.
Sartre, fit appel aux déménageurs bretons pour s’installer à Saint-Germain des Prés, bien qu'il soit vraiment nul au saxo. C’est à ce moment, d’après une sociologie non officielle que le baby boom en France augmenta, en effet il est dit que Jean Paul se tapait tout ce qui était en âge de procréer (ses étudiantes)
Il s'exprime alors sur tous les sujets, la politique (la putain respectueuse, Entretiens sur la politique) , l'éthique (On a raison de se révolter ; Cahiers pour une morale ) la chromatique quantique (L'Idiot de la famille), la chirurgie esthétique (La Transcendance de l'Ego ; L'Imaginaire) et même comment vous devriez redécorer votre salon (Questions de méthode, Le Mur) , et enfin il aborda aussi les questions d’hygiène : Morts sans sépulture ; Les Mains sales ; Lettres au Castor sur le ménage qui n’est pas fait au nom du féminisme)
Il dénonce avec courage la dictature de JFK en vacances à Cuba. Pendant mai 68, il monte sur un tonneau en hommage à Diogène.
Jean Paul s'est toujours entièrement consacré à son œuvre. Il a notamment écrit La nausée, qui raconte ses sorties de boites de nuit à Saint Germain , ainsi que ses lendemains de fête lorsqu’il prenait Juliette Greco pour Simone de Beauvoir, ce qui peut être gênant le matin au lever.
Quand on lit "'l'être et le néant", on se rend compte qu’il a passé beaucoup de temps au bistrot. Il y a même un café avec une plaque à son nom près de la table où il s’asseyait ! (Hobbes n’a qu’à bien se tenir !!! ce n’est pas la moustache qu’il va avoir bleu ! mais l’ensemble de ses poils !!)
Sartre essayait de rassembler ses yeux, et d’un coup d’œil observait une femme abandonnant sa main dans celle d’un homme, lança un regard sur la démarche empressée d’un garçon de café, puis contempla un cendrier sur une table….Tout ça lui suffit, il aime entrer à la maison (mais n’a jamais pu se mettre juste les pieds sous la table, Simone ayant toujours refusé de devenir femme !) et écrire.
Puis, quelques années après il fit la découverte des mots. Cela fut décisif. En effet il a consacré un livre à cette révélation : »Les Mots" où il expose l'orthographe ainsi que les règles de grammaire destiné aux personnes qui ont la vue qui baisse. Il comprit que ces "choses" pouvaient l'aider à s'exprimer clairement, mais le destin s’acharne : c’est juste à ce moment là qu’il devient aveugle, ne pouvant plus écrire.
Objectif : vérifier si l’ »existence précède l’essence », la maison des secrets va lui permettre d’expérimenter quelque chose que les hommes ont toujours mis en dehors de l’être : le néant. En effet, Sartre sait qu’une chose ne peut pas en même temps « être et ne pas être ». C’est pas possible. « Etre ou ne pas être, telle est la question ».
But : Sartre découvrira t-il que le néant est dans l’être ? Partagera t-il ses nausées avec les autres candidats ? Continuera t-il à penser que « l’enfer c’est les autres » surtout dans une maison des secrets ? Ce huis-clos inspirera t-il Jean Paul?
Enjeu : Ses adversaires lui reprocheront-ils de ne pas voir la vie en face à cause de son strabisme divergent ? La façon de voir la vie dépend-t-elle des yeux ? Que voit-on quand, non seulement les avis divergent, mais aussi les yeux ? L’essentiel est-il invisible aux yeux ?? L’esprit peut-il penser de travers ?
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